J’apostrophe en jurant ce soleil me narguant.
Tombant là-bas derrière l’horizon en me délaissant
Alors que le vent tournoyant se lève en caressant
Les lèvres des haies, les bordures des champs
Dans un dernier soupir regrettant en s’endormant
De partir maintenant vulgairement en s’agenouillant
Derrière les branches d’arbres infiniment dominants
Jusqu’à demain pendant qu’une nouvelle nuit se profilant
S’introduit parmi des ombres s’étirant en se réveillant
Les yeux écarquillés vers un couchant s’affaissant
Ce grand ténébreux aux arabesques s’élevant
En chassant les lueurs d’un jour se diluant
Pendant que je pleure ce soleil s’abandonnant
Comme une oppression sur mes épaules se voûtant