Parfois, tu m’observais en restant silencieuse. Je ne savais pas comment me comporter ? Ton regard me perturbait, m’interrogeait. Étais-tu heureuse, inquiète ou juste prudente ? Ce regard m’a longtemps glacé. Ensuite, tu n’as plus été la même, devenant distante moins présente. Nos temps se sont écourtés pour finalement s’arrêter. Je me suis souvenu de tous ces textes de philosophie que j’apprenais à la chaîne, ces logiques qui devenaient les miennes. Toutes ces interrogations sur l’homme et son devenir ?
Aucune ne m’a expliqué ton départ.