Sur la peau morte du parchemin de nos vies. J’ai oublié un point ou peut-être une virgule. Une pause de silence dans le tourbillon infini. Et contraint parmi nos grimaces ridicules. Je me souviens qu’il ne me reste plus rien. Que les miettes et les poussières de concessions joyeuses. Les apostrophes de luttes féroces et tapageuses. Sur le lit de nos existences éreintées. Alors que nous étions assoiffés à jamais. Des liqueurs précieuses de notre bonheur.