La-bas dans la nuit. Là où pleurent les anges. Les yeux tournés vers l’infini. Je sombre, je m’alanguis. Dans l’ombre, je vis. Parmi le silence étrange. Du néant de ma mélancolie. Je suis aux portes d’un labyrinthe. D’où s’échappent des plaintes. Je m’avance vers lui. Sous le poids d’une torpeur. Apaisant mes peurs. Habillé de ses vapeurs. Je marche, je progresse. Habité de cette fausse promesse. Que dans l’ombre où je vis. Brillent les lueurs d’un paradis.