Le voyage, cet éternel recommencement
Entre les piquets de l’infortune
Les éviter perpétuellement
En allant au-delà des dunes
Là où l’océan s’ébat, s’étend
Irrémédiablement et j’entends
Le souffle lancinant
Du vent s’enroulant
Autour de l’instant
Perpétuellement
Le voyage, cet éternel recommencement
Chaque matin, jusqu’au limbes du soir
Dans une routine, un enfermement
Entre les lignes d’une histoire
Là au sublime moment
Dans la flamboyance du couchant
S’embrase le récit palpitant
D’une journée se répétant
Par de petits pas progressant
Perpétuellement