Quarantaine. Jour 28. Noir
Le couloir est noir. J’avance en ayant peur. Je trébuche. Je ne peux crier. Je me sens faible, fragile, sensible. Puis au loin, une forme de lumière apparaît. Une ombre. Qui n’est pas agressive. Qui me repose. Elle m’alanguit. La fébrilité me quitte. Je suis en paix. Je m’approche. Je vois ton visage. Il me sourit. Jamais l’on ne m’a souri ainsi.
Lire la suiteQuarantaine. Jour 27. Couloir
Je me suis endormi cette nuit. Cela ne me porte plus peine. Ce soir, tu viendras me chercher. Le cauchemar m’emportera dans la vase clos de ce long couloir. J’ai souvent pensé qu’il avait été mon premier chemin. La toute première fois me conduisant vers toi.
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