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gothique et romantique

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La plaine de neige

Publié le 30 Jan 2019 | Aucun commentaire

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J’ai dans les yeux des images d’hier. Sans parvenir à me souvenir. Sont-elles noires ou rousses ? Ont-elles encore des saveurs ou des odeurs ? Amères, je les imagine diffuses et douces. Une tendresse, un attachement à leur totem. Elles sont ce qui me reste des choses que j’aime. Cette sensations guide mes pas sur la plaine de neige. En ce soir de pénombre qui me protège. Des lumières vives d’un jour que j’abhorre. Je progresse dans cette mélancolie que j’adore. Puisant dans l’inutile ce sentiment fragile. D’être une particule invisible et inaccessible.

J’ai dans les yeux des images d’hier. Les traces de mes pas sur la plaine de neige. Le vent, le froid, les hurlements des chiens, cet absolu. La morsure du temps, mes sens pris en étau dans un piège. Nu et sans abri dans la futilité de mes empressements. J’oublie comme si la présence de ce rien n’enfantait que des poussières. En faisant semblant de n’être qu’une variation particulière. Un fragment inutile et suranné posé de manière intemporelle. Sur la voie lactée de promesses infusées et immatérielles.

J’ai dans les yeux des images d’hier. Tristes et éblouies. Chapardant au vide ce qui nourrit son vertige de l’infini. Se protégeant derrière un voile mystérieux. Dressé devant mes pas lents et paresseux. Cette façon d’hiberner qui me protège. En laissant des traces sur la plaine de neige. Comme des petits cailloux pour un jour revenir. En arrière dans cette tentation de se souvenir. D’un temps embaumé que l’on ne pourra retrouver. Mes rêves sont les mensonges que j’aime fabriquer. Pour ne pas éroder ce fil avec le passé.

J’ai dans les yeux des images d’hier. Elles m’habitent, me hantent, résistent. Fières elles refusent de se laisser aller, de mourir. Refusant la nouveauté de ces journées. Vécues pour oublier et expurger. Ensevelir ce qui ne sera plus jamais. Une progression immaculée sur la plaine de neige. J’abrège ce temps en me grisant du froid et du vent. Fouettant le visage et les sens en flagellant. Ma mémoire qui hurle parfois de désespoir. En projetant ses fantômes crépusculaires dans le noir.

J’ai dans les yeux les images d’hier. Tous ces pas lents si souvent s’en allant. Sur la plaine de neige vers des cimetières. Transfuges d’un passé ou d’un présent. Liens entre ce qui fut et ce qui est. Dans l’immobilité et la volatilité de tant de sentiments. Une rébellion, une soumission, de la frustration. Et cet espoir qu’au bout brilleront des soleils. Chauds à nul autre sans pareil. Comme une promesse dans l’allégresse. D’abandonner ces regrets au fond d’ornières. Avec dans les yeux embués les images d’hier.

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Silence

Publié le 23 Jan 2019 | Aucun commentaire

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J’ai la nostalgie de ce temps insouciant où il n’y avait que le silence en écho à ma souffrance. Ces longues plaines plates accablées de chaleur sous un voile de pâleur. Qui atténuait à l’infini le chahut de mes doutes et de leurs outrances. Il y avait parfois un peu de vent apportant quelques embruns et leurs humeurs. Tout n’était que paresse et illusion dans un cocon d’allégresse et de compromission. J’aimais cette sensation d’un équilibre précaire entre le futile et l’impossible. Fabricant cet instant particulier d’être le somnambule d’un rêve imprévisible.

Il n’avait de frontière que le réveil de mes sommeils tardifs. Quand depuis longtemps le coq s’était recroquevillé dans une position de prostration. Après une complainte matinale portant ses nerfs à vif. Face à la solitude et au désintérêt de sa partition. Je ne l’avais pas entendu pris par les chimères de caprices féériques. Ce rêve intense et castrateur agitant le ressac de mes larmes invisibles. Dans la tiédeur d’une nuit aux accents dramatiques. Lorsque les sentiments et les fureurs sont intraduisibles. Et que l’avenir s’ouvrira sur un matin de frugalité admissible.

Alors, je caressais le souvenir du rêve et de ses rives gelées. Là, où s’endorment les vagues scélérates et leurs murs blancs. Balayant l’horizon en dansant sur les océans et parmi leurs courants. Je me rappelais ces silences violents et envahissants. Il y avait ces oiseaux et leurs becs tranchant comme des ciseaux. Le rideau ouvrant sur d’autres mondes où s’endort ma mélancolie. Dans l’apesanteur d’un néant protecteur. J’allais dans ce magma en particule immobile. Les sens en éveil pour me rappeler. La tiédeur de ce bienêtre indicible. A jamais inscrit dans mes gènes et mon ADN.

Cet ailleurs devint une part intérieure. De mes nuits profondes où les soleils noirs sont les veilleurs. D’un temps calme et précis quand les abeilles butinent le nectar de fleurs. Dont chaque matin je goûte le miel  en marchant sur le chemin. D’escapades frugales parmi des sarments de vignes. Sinuant entre des gouttes de pluie avant le soleil de l’après-midi. Recherchant dans les  odeurs de la terre ce parfum qui souligne. Le relais invisible entre la nuit et ma mélancolie. Toutes deux complices et narcissiques, elles hantent cet infini. Ce temps insouciant où il n’y avait que le silence en écho à ma souffrance.

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Les instants fragiles

Publié le 22 Jan 2019 | Aucun commentaire

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J’aime les glaces de nos incertitudes. La  gestuelle de ces intenses platitudes. Les corps pendus comme ça  par des fils. Se collant au-dessus du vide. Dans une apesanteur stérile. Écoutant les plaintes insubmersibles. De nos passagers du vent. Observant avides nos yeux impassibles. Comme si nous étions des insensibles. Je pense à leurs émotions passagères. Clandestines ou en fragments intemporels. Toutes éparpillées et fières. Esclaves d’une loi qui ensorcelle. Moi fou de toi. Trop et tout à la fois. Plus fort que ces ouragans, balayant les hasards du destin. Fou passionnément avec excès. Ce tsunami recouvrant le chemin. Violemment et sans pitié. Dans la cacophonie de nos apostrophes. Parfois vulgaires et obsessionnelles. Toujours tendres et fusionnelles. Catastrophes sculptant notre humanité. Aux bras, aux jambes démembrés. Allant l’hiver en traînant des pieds. Dans la volonté d’une routine assumée.

En plein vent, en pleine campagne. Nos faiblesses, ces viles compagnes. Veillent en rapaces patientes. Sur nos dérives et nos fientes. Toutes compromises, elles sont soumises. Et font de cette croix une foi. En des jours brillants et meilleurs. Quand s’endormiront leurs rancœurs. Au bord d’un lac ou dans une prairie. Si le néant accepte d’être le ferment. De matins calmes où s’envoleront les colibris. J’aime cette idée comme béquille à nos infirmités. Pour avancer et ne plus stagner. Dans la vase de sombres marais. Je parle à nos absences ravageuses. Ces instances inutiles et impérieuses. Se faufilant parmi le vent et le temps. En fabriquant l’ossuaire de nos corps s’érodant. Je sens venir les instants fragiles. Cette impuissance d’avenirs inutiles. Quand tout sera bien trop tard. Face à ces falaises bloquant le regard.

L’étrange sensation d’une réflexion de nos profondeurs. Là où sont enterrées les inflexions de nos humeurs. Un paradis de fer et de pierres. Où les fleurs naissent noires. Pendant que l’innocence est la valeur cardinale. D’un univers où le soleil se lève le soir. Dramatiquement à côté d’une boîte en carton. Où s’empilent des photos romantiquement. Dans l’oubli d’une lente dépigmentation. Je veux plaider en faveur de cette destruction. Pour savoir si la nostalgie me retiendra par les pieds. Avant de faire l’acte de tout sacrifier. Banalement, tristement ou en aspirant. L’air d’un renouveau quand tout sera beau. Inutile et superficiel. Cherchant dans une ritournelle. La strophe coupable d’éliminer. L’excessif diabolisant le présent.

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Ténèbres

Publié le 14 Jan 2019 | Aucun commentaire

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Elles sont une part de moi familière. Ne me sont pas étrangères. J’ai des ténèbres une impression particulière. Elles composent ce toit ombragé. Sous lequel je vais au calme m’allonger. J’ai des ténèbres cette sensation téméraire. Qu’elles colorient mes aurores crépusculaires. Ornant ce néant protecteur. Où se coagulent mes terreurs. Moi, enfant des vents de mélancolie. Consumant l’instant en banalisant. Ce qui est pour des crachins de nostalgie. Se fixant aux ailes des moulins à vent.

Mes ténèbres errent aussi loin. Que cet ailleurs qui se morfond chaque matin. En s’accouplant avec de mauvaises idées. Je les ai aimées puis les ai trompées. Avec un ciel blanc et brumeux. Se levant derrière un bois soyeux. Dans la rosée d’un ciel d’été. Fumant le calumet de la paix. Avec mes cauchemars éberlués par tant de témérité. Irrévérencieux, je me suis moqué d’eux. Sans remord jouant avec leur vie, avec leurs torts. Comme si j’étais viril et fort.

Je vois mes ténèbres comme des alliées. A forte variation de tristesse et d’humanité. Je prends les deux sans faire d’envieux. Ecoutant les grelots du vent en son stéréophonique. Un concerto en tremblements majeurs. Sous un chapeau à plus-value esthétique. Me protégeant de toutes ces frayeurs. Mes souffrances, mes complaintes, mes astreintes. Je broie ce noir comme des grains de café. Ma perversité me pousse à m’en délecter. Au bord de l’écœurement presque empoisonné.

Mes ténèbres fécondent les silences. Qui enterrent l’usage de la parole. Ressuscitent ce besoin d’isolement. En offense aux témoignages de morale. Si présents lorsque je suis absent. La nuit me baignant dans des océans de mélancolie. Sur une île déserte où les coquillages ont fui la plage. Et les nénuphars se prennent pour des martin-pêcheurs. Cousins de diables à plumes farceurs. Flottant dépenaillés sur des liquides alcalins.

Je sais les ténèbres profondes et obscures. Des lieux où sur le lierre poussent des mures. Devant l’éclat de chandelles éprouvées. Face à une assistance de chauve-souris, transies. Tétanisées à l’idée de voir le jour se lever. Hurlant dans le chaos envahissant. Une haine à peine maîtrisée. Ce requiem potelé de notes évaporées. Un raffinement sans précédent. Avec des spectres s’habillant en XXL. Et des sorcières osant des manières de demoiselles.

 

 

 

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Au couchant s’endormant

Publié le 7 Jan 2019 | Aucun commentaire

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Au couchant s’endormant. Charme l’image qui se morfond. Pareille aux soubresauts envoutants. D’une espérance pour de bon. Marnent les diables d’hier. Vers des contrées de pierres. A l’intérieur de mines sombres. Aux murs d’argent et de sang. Dans le suintement de la pénombre. Se dresse l’âme fière d’une rancœur passagère. Alors que s’évadent des enfants. Parmi les rêves familiers. D’un conte doux et coloré. A l’écart d’îlots glacés. Où tracent des ours carnassiers. Je me prends à imaginer. Un univers aux multiples lunes. Dansant derrière des dunes.

Au couchant s’endormant. Un espace bref dans le temps. Comme une ondulation. Imperceptible dont l’inflexion. Fugace et imprévisible. Est égérie d’une vague titanesque. S’échappant de terres mauresques. Apportant l’embrun et le chaud. D’une caresse sur la peau. Dans une présence diffuse et confuse. Marquant prématurément cet instant. Avant que ne vienne l’endormissement. Lorsque l’envol vers d’autres terres. Deviendra fraction de temps. Heurtant sur la pierre. Le minerai sensible. De promesses faillibles. Dans une prairie ou ailleurs. Et que s’engourdiront les peurs.

Au couchant s’endormant. Dans le rêve immaculé. De prairies enneigées. Une image de carte postale. Sur un mur vieillissant. Se recroquevillant en position fœtale. Comme celle d’un passé oublié. Une valse à petits pas tournoyant. Devant un kiosque sans musicien. Une nuit narguant l’infini. J’entends le néant et ses cris. Ventilés par tant d’insomnies. Côte à côte dans une révolution sans souci. Nous immortels et mauvais génies. Venant hanter le vent. Et ses corridors dans le désaccord. De violons orphelins d’un petit matin. Où nos corps se mélangeront à l’invisible. Dans une pause impassible.

Au couchant s’endormant. Je côtoie l’inaccessible. Comme un besoin intangible. Je parle seul et fais de ce temps. Une pierre volcanique. Embrasant l’intemporalité. Quand s’affiche l’ironique. De nos dynamiques. J’ai dans la main ce talisman. Qui reflète le temps. A venir avant de s’endormir. Je chéris cette léthargie. Filtre aux mailles érodées. D’avoir trop partagé. Les images rougeoyantes. De couchants s’endormant. Cette heure d’une volupté permanente. Sur la banquise ou bien ailleurs. Dans le chaud ou le froid. Dans la paix ou la frayeur. Surement sans reine ni roi. Au couchant s’endormant.

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