Je sais qu’il existe des portes qui ne s’ouvrent pas. Que derrière traînent des odeurs frelatées capables de nous envenimer. Tu me l’avais dit. Mais, dans l’inconstance de mon quotidien, je n’y avais pas apporté attention. Nous étions dans un autre monde parallèle. Où les idées se nourrissent et se meurent dans la beauté de moments tranquilles et doux. Il n’y avait pas de violence entre nous. Je ne savais pas ce qu’était souffrir d’amour. Tu étais là en permanence, pour moi toujours.
C’était bien.
Nous étions si bien.