Le couloir est noir. J’avance en ayant peur. Je trébuche. Je ne peux crier. Je me sens faible, fragile, sensible. Puis au loin, une forme de lumière apparaît. Une ombre. Qui n’est pas agressive. Qui me repose. Elle m’alanguit. La fébrilité me quitte. Je suis en paix. Je m’approche. Je vois ton visage. Il me sourit. Jamais l’on ne m’a souri ainsi.