Je hais les journées lumineuses, les soleils qui rendent les gens dispendieux. Je déteste ces heures luminescentes et flamboyantes. Je rase les murs en portant le poids de ma solitude. Elle vit et vibre en moi. Depuis notre rupture. Que j’endure comme une fatalité. Nos vies n’étaient que cela. Elles étaient des embryons hystériques, juste de simples expériences.