Parmi les ombres qui se cachent dans le dédale de mon âme
Se mortifient les caricatures de ces temps joyeux et affables
Quand le coquelicot dans les champs fleurissait en flammes
Rouges sur l’aube naissante d’un matin triste et indomptable
Bleues sont les crépuscules de ces heures aux ourlets noirs
Là où rodent mes ombres perdues dans l’amertume d’un soir