J’ai l’impudeur de croire aux caprices de l’aube. A cette lumière blanchâtre sortie de l’âtre. Où l’infortune de mes songes portent l’aube. Des simples et des miséricordieux. Progressant fragiles et anxieux. Sur le parterre d’un chemin de pierres. Vers des lendemains qu’ils redoutent ténébreux. Lorsque tremble l’ouragan versatile. Qui s’engouffre dans les fissures de mes pas. Il m’habite et me hante. Il m’invite et me tente. Là dans les près de l’été. Parmi les spasmes de violoncelles incertains. Et m’apporte la mélodie de leur mélancolie. Aujourd’hui dans l’aube de ce matin. Je la rudoie et je m’apitoie. Sur le sort de ses tremblements infinis.