La platitude de la monotonie de ces journées n’a d’égale que les couleurs sombres qu’elles portent en uniforme d’une pensée sans idée. Elles me lassent, m’agacent. Leur bienséance nauséabonde pue le mensonge. Pour exister et se répéter. Pire encore, elles lissent la pensée de chaque matin avec une raie au milieu. Ce fossé moral qu’elles ne franchiront jamais de peur de ne plus pouvoir se répéter. Qui s’intéresse à elles ?
Moi, car elles se sont imposées.