C’est certainement ton plus grand présent. Ce bouclier qui me protège de ces doutes qui m’assiègent. Ils sont mortifères. J’aime ce mot et rejette sa symbolique. Il est ce venin volatile d’un mauvais esprit. Celui que l’on vaporise pour ajouter au mal une odeur entêtante et infamante. Tu m’as enseigné les raisons et la déraison de tant de plaisirs malsains. Ceux qui s’introduisent dans l’esprit, se nichent et s’enkystent comme des huîtres sur un rocher. Et que rien ne peut décrocher.