A l’unisson de nos frissons. Tressaille le silence impudent. De nos faiblesses passionnelles. Ces frémissements intenses. Qui chassent la pénombre. Quand frissonne une aube se levant. Nous irons chantant des ritournelles. Sur le terreau de nos heures sombres. Alors que danseront des lucioles familières. Sur les frimas d’humeurs passagères. Dans la clameur d’ouragans s’évaporant. Et, nous deviendrons des papillons s’envolant. Dans le firmament d’un jour s’évanouissant.