J’observe les lenteurs enrubannées
Qui volent dans le vent tourmenté
Font des nœuds enthousiasmés
Que le temps dénoue catastrophé
Se projetant dans l’instant tourmenté
Pendant que s’étirent les journées
Face aux jours pluvieux et glacés
Habillés de leur mélancolie colorée
Ces moments passés à fredonner
Des airs surannés venus du passé