Aux fantômes d’hier et de demain. Aux ombres d’aujourd’hui et sans lendemain. Aux silences d’une pierre qui pleure. Sous l’éclat d’une lumière qui se meure. Reste le vide et le néant d’un corridor sans fin. Où sont emprisonnées dans un mouroir. L’histoire d’une meurtrissure, le fléau d’une déchirure. Vouées à toujours revenir. Face au miroir de l’avenir. Comme l’ultime rappel. Que seule poussière est immortelle.