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gothique et romantique

Posts made in août, 2015

Éternité

Publié le 31 Août 2015 | Aucun commentaire

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Je me souviens de la sonate de Beethoven. Au clair de lune. Je me souviens de tes doigts agiles. Ta peau blanche, tes veines. Sous la lune. Violence, souffrance, arrachant des larmes au piano. Beau, trop beau, fragile. Il y a eu la nuit. Cette désespérance. Un désenchantement. L’enfermement, l’abrutissement. Ce tout qui s’enfuit. Je ne me souviens plus de rien. Un pas de danse. Peut-être et encore ? La tempête, le froid sur nos corps. Je t’appelle. Oui, je t’appelle. J’entends les cordes du piano raisonner. Mon esprit noyé, emporté. Par le flot endiablé. Au bout là-bas du cimetière. Où je t’ai mise en bière. Une stèle qui rappelle. Ce soir. Quand tu as engourdi mon désespoir. Je me souviens de la sonate de Beethoven. Au clair de lune. Je me souviens de tes doigts agiles. Ta peau blanche, tes veines. Sous la lune. Gracile. Tu endiables mon éternité.

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Je vois. Je crois…

Publié le 24 Août 2015 | Aucun commentaire

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Je vois. Sur la photo jaunie. Les larmes, les rêves inaboutis. J’entends. Les mots, leur amertume. Revêtant. Les pâleurs d’une nuit. Le vent, la pluie. La peur, nos frayeurs. Tanguant en résistant. Fermant les yeux. Pour s’accrocher tous les deux. Je comprends. Qu’il y aura une fin. Maintenant, un autre lendemain. Aléa au bout de nos pas. Une chute, le fracas. Du cristal de nos erreurs. En miettes, un haut le cœur. Je sais. Le vent hésite. A tout balayer. Une claque, de la dynamite. Nous deux, nos vœux. Échappés, envolés. Plus loin, sans rien. Je vois. Sur la photo jaunie. Les larmes, les rêves inaboutis. Dans ma mémoire s’endorment. Le jour, le soir. Sans espoir, perdant toute forme. Le temps comme une agonie. Un goût de vomi. Comme ça. Car c’est écrit. On reste là.  Le froid, le vent sur nos corps. Loin du décor. A regarder briller. Une ville illuminée. Toi et moi. Naufragés d’une étrange vérité. S’aimer. Je crois. Que c’est le mot à employer. Avant, il y a longtemps. On se plaisait à l’utiliser. Oublié, effacé. Sans retrouver les couleurs du passé. Adieu ce rêve merveilleux. Fougueux, impétueux. Se détachent tes bras qui m’enlacent. Derrière le miroir, ce tout qui s’efface. Flottent nos âmes transies. Parmi les ombres d’une nuit. Je vois. Sur la photo jaunie. Nos larmes, nos rêves inaboutis. J’entends. Les mots, leur amertume. Pendant que sur nous s’abat la brume. Se punir et souffrir. S’égarent nos vies. Là-bas dans l’infini. Je vois. Je crois…

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Mon pauvre amour

Publié le 18 Août 2015 | Aucun commentaire

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Mon pauvre amour. Nous reprendrons la route. Demain, en proie aux peurs, au doute. Quittant le château; ses tours. Nous les gueux pendus aux fils du temps. Nous irons par les chemins au cœur de forêts sombres. Frileux, trébuchant en nous enfuyant. Je vois des larmes couler de tes yeux. Remonter cette part d’ombre. Je la connais. Je ne peux l’apprivoiser. Un voile sur ton regard malheureux. Posé que je ne peux effacer. Nous deux. Derrière ces murs. Qui ne nous protègent plus. Seuls est notre nature. Fantômes est notre parjure. Perdus. J’aimerais te protéger. Comme toi, je suis effrayé. Par cette haine venue nous chasser. Toi qui n’est que voluptée. Les doigts à jouer. Sur un piano des notes enchantées. Je suis le seul à les écouter. Est-ce notre faute d’être différents, effrayants, fascinants ? On n’a rien demandé. Nous sommes le fruit d’une étrangeté. De n’avoir pas voulu se quitter. Vivants ou morts; sans remord. Nous n’avons pas de présent. Nous avons oublié le passé. Le futur est inexistant. C’est ainsi. Vont nos vies. Mon pauvre amour. Nous reprendrons la route. Demain, en proie aux peurs, au doute. Pour aller où ? Au fond d’un trou ? Délaissant ce château. Où tout était trop beau. Nos jours, nos soirs, leurs vertiges. De pièces en pièces à répandre les délices de notre torpeur. J’aime cette apesanteur. Ses lenteurs, ses couleurs. Une teinte sépia comme dernier vestige. D’un temps arrêté. Au bout de nos doigts. Une éternité. Pour une dernière fois.

 

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La mélodie de notre agonie

Publié le 11 Août 2015 | Aucun commentaire

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Je n’ai pas de mots pour décrire, écrire. La confusion de mes sentiments. Titubant, se balançant dans le vent. Se cognant aux murs, aux arbres, au temps. Je n’ai pas de mots que des sursauts. La haine, la rage, j’enrage. Mes doigts heurtent le clavier. Massacrent les notes sans pitié. Appuyer pour écraser, frapper. Détruire pour fuir. Je ne puis que subir. L’infusion du venin dans mes veines. Un sentiment d’endormissement. La mélancolie de l’ennui. Une histoire vaine. Notre passion qui tourne en rond. Ritournelle obsessionnelle. Proche de l’abandon. Je joue la triste partition. Celle qui rappelle. Les brumes de notre nostalgie. Perdue de vue. Entre les arbres du parc. Au début de l’automne. Sur un tapis de feuilles roussies. Dans le cœur la flèche d’un arc. La fin qui sonne. Je voudrais décrire, écrire. L’impression du néant. Prenant, étouffant. Les sons vides du piano. Pour t’appeler, te rappeler. Je n’ai plus la force de l’ensorceler. De briser l’écho assourdissant du tonnerre. Qui dehors électrise la terre. Les cheveux au vent. La pluie dégoulinant. Je cours après ton ombre. Entre les fantômes du passé. Les spectres qui sortent de la pénombre. Dans le cimetière aux pierres cassées. Là où pousse l’herbe abandonnée. Là où souffle le vent mauvais. Je m’approche, je viens de retrouver. Pourquoi m’as tu quitté ? Pour t’en aller. Je voudrais décrire, écrire. La sensation de rébellion. Qui m’assaille, fatale, animale. Mon univers carcéral. Toi seule en a la clé. Je frappe le piano enchanté. Pour te réveiller. Que tu sortes de terre. Du paradis, de l’enfer. Retire-moi mes fers. Volons l’univers. Fous, voyous. Écoute la mélodie que je joue pour toi. Décrire, écrire. L’envie qui bat en moi. D’être proche de toi. Agenouillé dans le cimetière. Devant ta croix de pierre. A psalmodier. Des paroles enchantées. Tu pourrais les entendre. M’entendre. Je reviens l’hiver, l’été, le jour, la nuit. Mes pas flirtent avec l’infini. Penser t’abandonner. J’ai ça en moi. L’imaginant maintes fois. La haine, la rage, j’enrage. Mes doigts heurtent le clavier. Massacrent les notes sans pitié. Appuyer pour écraser, frapper. Détruire pour fuir. Je ne puis que subir. L’infusion du venin dans mes veines. Un sentiment d’endormissement. Joue la mélodie de notre agonie.

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To break free

Publié le 6 Août 2015 | Aucun commentaire

To break free

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A bar, a door, a wall, nothing will stop the desire. To cross barriers, to go to see to shine at night. Black, glittering, without cloud, without star. Just the smell, the liqueurs of our fears. To know that we are alive. Behind us, the infinity of the veil. Mold of our resentment. You and me, dressed in black. In the colors of the sky. Making in the daytime our evening. Nothing of really. We shall walk in the grass and the meadows. Farther at the end of the silence. Stealing the time. To dream. Firing at the sons of our melancholy. Our life. In small steps goes on the dance. A slow drift. Behind the wall, one night which makes drunk. Slowly by playing. With the smells, the liqueurs of our fears. Sat on another bank. The key is missing only. To open doors, escape. I believe, you believe in the miracles. Every day, every evening. A short history. Putting our life in show. Without heart, without spectator. Our labour. Tasteless, dull. You tell me disillusioned. I tell you erased. We have the pity to look. React, avoid hating. A bar, a door, a wall, nothing will stop the desire. To cross barriers, to go to see to shine at night.

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