And, so only you existed…

Your smiles. Your love of life. Your charm. Some winks. A desire for knowing you. Better. More. I thought so much of it. Perhaps too? Idealizing. Dreaming. Manufacturing a reality. Imagined. Drawn. Mine. Holds it ? The fault with your smiles. Your love of life. I scribbled some share in my memory. Like a hope.Your number. Your street. I never came there. However, I have the feeling to know it. To find you there. Te speech. To look at you. To see You moving. I arrived. Precipitate. Blown. Not to miss you. To live this privileged moment. I fantasized it, colored. Carried by your smiles. Your love of life. Your charm. Which, I succumbed. Without you to show it. Not all to distort. Now, I hesitate. Our meeting. Your house. Its height. Its forms. All my fears call. In me things Awake so much. An unsoundable wall against which I so often knocked myself. Broken. Still, I do not dare. To approach me. The shroud hiding this emaciated body. The slow step. Men the bearing one. Go after walk in the large staircase. Me, the fussy one. Impotent. Overpowered. Prostrate. This vision haunts me. Why now ? Such a long time ago. This dream which I believed immured. With deepest of my secrecies. You awoke it. Your smiles. Your love of life. Your charm. That I imagined. To release me. Of these bonds which blocked me. Do not have enough force yet to protect me. And, so only you existed…
Lire la suiteEt, si seulement tu existais…

Tes sourires. Ta joie de vivre. Ton charme. Quelques clins d’œil. Une envie de te connaître. Mieux. Plus. J’y ai tellement pensé. Peut-être trop ? Idéalisant. Rêvant. Fabriquant une réalité. Imaginée. Dessinée. La mienne. La tienne ? La faute à tes sourires. Ta joie de vivre. J’ai griffonné quelque part dans ma mémoire. Comme un espoir.Ton numéro. Ta rue. Je n’y suis jamais venu. Pourtant, j’ai l’impression de la connaître. T’y retrouver. Te parler. Te regarder. Te voir bouger. Je suis arrivé. Précipité. Essoufflé. Pour ne pas te manquer. Vivre ce moment privilégié. Je l’ai fantasmé, colorié. Porté par tes sourires. Ta joie de vivre. Ton charme. Auquel, j’ai succombé. Sans te le montrer. Pour ne pas tout fausser. Maintenant, j’hésite. Notre rencontre. Ta maison. Sa hauteur. Ses formes. Appellent toutes mes peurs. Réveillent en moi tant de choses. Un mur insondable contre le quel je me suis si souvent cogné. Brisé. Encore, je n’ose. M’en approcher. Le linceul cachant ce corps décharné. Le pas lent. D’hommes le portant. Marche après marche dans le grand escalier. Moi, le regardant. Impuissant. Accablé. Prostré. Cette vision me hante. Pourquoi maintenant ? Il y a si longtemps. Ce rêve que je croyais emmuré. Au plus profond de mes secrets. Tu l’as réveillé. Tes sourires. Ta joie de vivre. Ton charme. Que j’ai imaginés. Pour me libérer. De ces liens qui m’entravaient. N’ont pas encore assez de force pour me protéger. Et, si seulement tu existais…
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