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gothique et romantique

Posts made in juillet, 2012

You hate my pessimism

Publié le 9 Juil 2012 | Aucun commentaire

You hate my pessimism

I accompanied you at the bottom of glacier in this magic place where on the other side of the white wall the sun never lies down. The weather is not cold. It never made cold there. The sun floats above the white barrier fixedly hung between the mountains. It always was thus. Its glare is sharp, without being plugging. To tighten the hands, to seek to attract it with oneself, the desire is if trying. You tell me the history of these men who wanted to go to see other side the sun and this world that it illuminates. One tried to dissuade them. But, they were if stubborn. Parties, they never returned. To comfort itself, some think that they found a country marvellous where heat, softness are linked offering happiness to them. I want to believe it well but is does reasonable? That will lead us to want to climb the glacier, to be played of its cracks. Es do you lend for this voyage without return? You told me that up there between the mountains monsters doze, demons, guards of this marvellous territory. Do we Somme ready to defy them? I doubt it. You like what shines. Me not. To avoid me a cruel disillusion, I prefer to believe that on the other side of the glacier the sun is burning hot, that its rays are only sufferings. You will hate my pessimism, I know it. You react always thus. But we are still in life…

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Tu détestes mon pessimisme

Publié le 9 Juil 2012 | Aucun commentaire

Je t’ai accompagnée au pied du glacier en ce lieu magique où de l’autre côté du mur blanc le soleil ne se couche jamais. Il ne fait pas froid. Il n’y fait jamais froid. Le soleil flotte au-dessus de la barrière blanche fixement accroché entre les montagnes. Il en a toujours été ainsi. Son éclat est vif, sans être aveuglant. Tendre les mains, chercher à l’attirer à soi, l’envie est si tentante. Tu me racontes l’histoire de ces hommes qui ont voulu aller voir de l’autre côté le soleil et ce monde qu’il illumine. On a tenté de les en dissuader. Mais, ils étaient si obstinés. Partis, ils ne sont jamais revenus. Pour se consoler, certains pensent qu’ils ont trouvé un pays merveilleux où la chaleur, la douceur s’unissent leur offrant le bonheur. Je veux bien le croire mais est-ce raisonnable ? Cela nous conduira à vouloir escalader le glacier, se jouer de ses crevasses. Es-tu prête pour ce voyage sans retour ? Tu m’as dit que là-haut entre les montagnes sommeillent des monstres, des démons, gardiens de ce territoire merveilleux. Sommes-nous prêts à les défier ? J’en doute. Tu aimes ce qui brille. Moi pas. Pour m’éviter une cruelle désillusion, je préfère croire que de l’autre côté du glacier le soleil est brûlant, que ses rayons ne sont que souffrances. Tu vas détester mon pessimisme, je le sais. Tu réagis toujours ainsi. Mais nous sommes encore en vie…

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Il lucore meraviglioso

Publié le 5 Juil 2012 | Aucun commentaire

Un’ora fa particolare dove il sole passa attraverso le vetrate che proiettano sul suolo della cattedrale una macchia luminosa. Si allunga sul suolo, sulle sedie, le stalle dei monaci, che estendono il suo corpo, le sue braccia in un lucore bianco. Resta poco. Una nuvola, lo ombreggia di un pilastro vengono spesso ad estinguerlo. Ogni giorno, ritorna inesorabilmente.

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Der wunderbare schein

Publié le 5 Juil 2012 | Aucun commentaire

Vor einem besonderen Stunde, wo die Sonne durch die Glasmalereien übergeht, die auf dem Boden der Kathedrale einen leuchtenden Fleck planen. Sie verlängert sich auf dem Boden, auf den Stühlen, den Stallbuchten der Mönche ihren Körper ausdehnenden ihre Arme in einem weißen Schein. Sie bleibt wenig. Eine Wolke werden der Schatten eines Pfeilers oft es löschen. Jeder Tag kommt sie unweigerlich zurück.

 

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El atisbo maravilloso

Publié le 5 Juil 2012 | Aucun commentaire

Hace una hora particular en que el sol pasa a través de las vidrieras que proyectan sobre el suelo de la catedral una mancha luminosa. Se alarga sobre el suelo, sobre las sillas, las paradas krj’sjmoy de los monjes, extendiendo su cuerpo, sus brazos en un blanco atisbo. Permanece poco. Una nube, la sombra de un pilar vienen a menudo apagarlo. Cada día, vuelve de nuevo inexorablemente.

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