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gothique et romantique

Posts made in juillet, 2012

Geträumt ohne adresse.

Publié le 12 Juil 2012 | Aucun commentaire

Wo gewohnt du? Sagen mich? Du hast mir nie geantwortet. Dich warum isolierten du? Hättest du Geheimnisse, mich zu verstecken? Ich wage nicht, es zu glauben. Meine Einbildung zeichnet dich eine Wohnung. In einem Schloss auf einem Hügel lebst du, um die Welt besser zu sehen es hören der Tastsinn der Morgen des ersten Blicks, indem er deine Abschnitte eröffnet. Ich weiß es. Meine Einbildung hat mich nie getäuscht. Du hast es nie mir erzählt; ich davon habe kein Bedürfnis. Ich sehe diesen blauen Morgen, der die Mauern deines Schloßes einwickelt. Er macht Kälte. Du schaudern Sie. Der Frost hat die Erde bedeckt. Die Bäume dehnen ihre Bandzweige auf einen dunklen und wolkigen Himmel aus. Niemand wird kommen, dich noch und immer zu sehen. Du bist nicht, dass eins geträumt ohne adresse.

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Uno sognato senza indirizzo.

Publié le 12 Juil 2012 | Aucun commentaire

Dove abitati? Lo dicono? Non mi hai mai risposto. Perché ti isolato? Avresti segreti a nasconderlo? Non oso crederlo. La mia immaginazione lo disegna un’abitazione. In un castello, su una collina, vivi per vedere meglio il mondo, intenderlo, il contatto la mattina del primo sguardo aprendo tuo aspetti. Lo so. La mia immaginazione non lo ha mai fuorviato. Me l’hai mai raccontato; ne non ho bisogno. Vedo questa mattina blu che avvolge le pareti del vostro castello. Fa freddo. Rabbrividisci. Il gelo ha coperto la terra. Gli alberi estendono i loro rami tentacolari su un cielo scuro e nuvoloso. Nessuno non verrà a trovarlo ancora e sempre. Non sei che uno sognato senza indirizzo.

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Uno soñado sin dirección.

Publié le 12 Juil 2012 | Aucun commentaire

Dónde habitados -tu? Me dicen me? Nunca me has respondido. Por qué ti aislado -tu? Tendría -tu secretos que ocultarme? No me atrevo a no creerlo. Mi imaginación te dibuja una vivienda. En un castillo, sobre una colina, vives para ver mejor el mundo, oírlo, el tacto la mañana de la primer mirada abriendo tus aspectos. Lo sé. Mi imaginación nunca lo ha equivocado. Nunca me lo has dicho; no tengo necesidad. Veo esta mañana azul que envuelve las paredes de tu castillo. Hace frío. Tiemblas. La helada cubrió la tierra. Los árboles extienden sus ramas tentaculares sobre un cielo oscuro y nublado. Nadie vendrá a verte aún y siempre. Sólo eres uno soñado sin dirección.

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Did you really exist?

Publié le 12 Juil 2012 | Aucun commentaire

Did you really exist?


I remember this castle where we were going to walk. We walked along the ditches looking at water reflecting the high walls, the rare white windows. Sometimes, some ducks passed, a couple of swans accompanying them. We looked at them advancing their webbed legs leaving behind them the waves of their walk. You liked these particular moments where the small ones followed them naively. It was spring, the beautiful days. Perhaps did you think that one day we would come, in the alleys of this castle, of the children playing behind us? I do not know it. The idea often skimmed me. You were so secret. I hid behind your silences. It was my way of accompanying you. We came, of the years during, without becoming aware that our walks did not have a goal. This vacuum so far carried the value of a refuge where I saw you more. It rained. I took delay on the road, a deceleration, hesitant drivers, I arrived five minutes later that of habit. You were not there under the porch of the entry. The rain had not been able to stop you. How much time planes us faced wind, downpours, storms? While coming, I had the presentiment of your absence. It is easy to say it now. The empty porch, your frail silhouette which is not posed in front of the hedge of bay-trees, these signs did not mislead me. I do not know your address. Where to seek you, where to find you? Would you like quite simply? It remain me that this question don’t you are part wearied to expect me or you refused to come? I do not want to know your answer. To know that we did not have any future together. I always knew it. Since, I make the turn of the castle, only. The ducks, the swans aged, their children took over animating the ditches of the castle. I walk without goal looking at them advancing on water. I often think of you the phantom of my walks. Did you really exist?

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As-tu vraiment existé ?

Publié le 12 Juil 2012 | Aucun commentaire

Je me souviens de ce château où nous allions nous promener. Nous marchions le long des douves regardant l’eau refléter les hauts murs, les rares fenêtres blanches. Parfois, quelques canards passaient, un couple de cygnes les accompagnant. Nous les regardions avancer de leurs pattes palmées laissant derrière eux les vagues de leur promenade. Tu aimais ces moments particuliers où des petits les suivaient naïvement. C’était le printemps, les beaux jours. Peut-être pensais-tu qu’un jour nous viendrions, dans les allées de ce château, des enfants jouant derrière nous ? Je ne le sais pas. L’idée m’a souvent effleuré.Tu étais si secrète. Je me suis caché derrière tes silences. C’était ma façon de t’accompagner. Nous sommes venus, des années durant, sans prendre conscience que nos promenades n’avaient pas de but. Ce vide portait la valeur d’un refuge jusqu’à ce jour où je ne t’ai plus vue. Il pleuvait. J’ai pris du retard sur la route, un ralentissement, des conducteurs hésitants, je suis arrivé cinq minutes plus tard que de coutume. Tu n’étais pas là sous le porche de l’entrée. La pluie n’avait pas pu t’arrêter. Combien de fois avions nous affronté le vent, les averses, les tempêtes ? En venant, j’avais le pressentiment de ton absence. C’est facile de le dire maintenant. Le porche vide, ta frêle silhouette qui n’est pas posée devant la haie de lauriers, ces signes ne m’ont pas trompé. Je ne connais pas ton adresse. Où te chercher, où te trouver ? Le voudrais-tu tout simplement ? Il ne me reste que cette question es-tu partie lassée de m’attendre ou as-tu refusé de venir ? Je n’ai pas envie de connaître ta réponse. Pour savoir que nous n’avions aucun avenir ensemble. Je l’ai toujours su. Depuis, je fais le tour du château, seul. Les canards, les cygnes ont vieilli, leurs enfants ont pris la relève animant les douves du château. Je marche sans but les regardant avancer sur l’eau. Je pense souvent à toi le fantôme de mes promenades. As-tu vraiment existé ?

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