Il lucore meraviglioso

Un’ora fa particolare dove il sole passa attraverso le vetrate che proiettano sul suolo della cattedrale una macchia luminosa. Si allunga sul suolo, sulle sedie, le stalle dei monaci, che estendono il suo corpo, le sue braccia in un lucore bianco. Resta poco. Una nuvola, lo ombreggia di un pilastro vengono spesso ad estinguerlo. Ogni giorno, ritorna inesorabilmente.
Lire la suiteDer wunderbare schein

Vor einem besonderen Stunde, wo die Sonne durch die Glasmalereien übergeht, die auf dem Boden der Kathedrale einen leuchtenden Fleck planen. Sie verlängert sich auf dem Boden, auf den Stühlen, den Stallbuchten der Mönche ihren Körper ausdehnenden ihre Arme in einem weißen Schein. Sie bleibt wenig. Eine Wolke werden der Schatten eines Pfeilers oft es löschen. Jeder Tag kommt sie unweigerlich zurück.
Lire la suite
El atisbo maravilloso

Hace una hora particular en que el sol pasa a través de las vidrieras que proyectan sobre el suelo de la catedral una mancha luminosa. Se alarga sobre el suelo, sobre las sillas, las paradas krj’sjmoy de los monjes, extendiendo su cuerpo, sus brazos en un blanco atisbo. Permanece poco. Una nube, la sombra de un pilar vienen a menudo apagarlo. Cada día, vuelve de nuevo inexorablemente.
Lire la suiteI failed to lose you

The morning, while raising me, I know that you will be there. The evening, you will accompany me at the time to lay down me. It is simple, regular, creature of habit. You like the practices. They are in your nature. The practices make safe you. You feel protected. I accepted it because you will be able to never change what is registered in you. I love you for that and so much of other things. I hate the practices, the routine but you need some to feel you well. It is your nature. I accept it because I love you. I do not stop using this verb. I combine it at all times. I combine it at this so imperfect time of this routine which removes its true nature to him. Moreover, I do not know more really than is only to love you. The morning, you are there. The evening as much. My love is corroded by the practice. This throbbing repetition is only one call towards this vacuum where I am spread out with too much ease. I understood it, yesterday, when you slipped, that you knocked yourself. You staggered. You failed to fall. I felt your pain, the danger which had just threatened you. I was afraid of this dreadful, violent fear which produced a fault in me. There was at the bottom the vacuum to lose you. I measured what you represent for me, which gives a direction to our life of each day. Happiness to see the glare in your eyes, their so sharp way to look at me. I had forgotten that I could lose you, that we could lose ourselves. Your fall broke in me the word to like and its routine pollution of each day. I replaced it by this fear which we could lose forever. It is sharper, stronger than this verb to like than I hate, hate, if easy to use but who will never summarize what I felt when I failed to lose you.
Lire la suiteJ’ai failli te perdre…

Le matin, en me levant, je sais que tu seras là. Le soir, tu m’accompagneras au moment de me coucher. C’est simple, régulier, routinier. Tu aimes les habitudes. Elles sont dans ta nature. Les habitudes te sécurisent. Tu te sens protégée. Je l’ai accepté car tu ne pourras jamais changer ce qui est inscrit en toi. Je t’aime pour cela et pour tant d’autres choses. Je hais les habitudes, la routine mais tu en as besoin pour te sentir bien. C’est ta nature. Je l’accepte car je t’aime. Je n’arrête pas d’utiliser ce verbe. Je le conjugue à tous les temps. Je le conjugue à ce temps si imparfait de cette routine qui lui enlève sa vraie nature. D’ailleurs, je ne sais plus vraiment ce que c’est que de t’aimer. Le matin, tu es là. Le soir tout autant. Mon amour est rongé par l’habitude. Cette répétition lancinante n’est qu’un appel vers ce vide où je m’étale avec trop d’aisance. Je l’ai compris, hier, lorsque tu as glissé, que tu t’es cognée. Tu as titubé. Tu as failli tomber. J’ai ressenti ta douleur, le danger qui venait de te menacer. J’ai eu peur de cette peur affreuse, violente qui a produit une faille en moi. Il y avait au fond le vide de te perdre. J’ai mesuré ce que tu représentes pour moi, ce qui donne un sens à notre vie de chaque jour. Le bonheur de voir l’éclat de tes yeux, leur façon si vive de me regarder. J’avais oublié que je pouvais te perdre, que nous pouvions nous perdre.Ta chute a brisé en moi le mot aimer et ses pollutions routinières de chaque jour . Je l’ai remplacé par cette crainte que nous pourrions nous perdre à jamais. Elle est plus vive, plus forte que ce verbe aimer que je hais, que je déteste, si facile à utiliser, incapable de définir ce que j’ai ressenti lorsque j’ai failli te perdre.
Lire la suite




