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gothique et romantique

Posts made in mars, 2015

Mes ciels noirs

Publié le 31 Mar 2015 | Aucun commentaire

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Je voudrais te parler de mes ciels noirs. Ceux que tu pourrais voir. A force de vouloir me ressembler. J’aimerais te les épargner. Pour te protéger, te garder. Au départ,  je chercherais à t’effrayer. Pour t’empêcher de savoir. Tout en désirant t’attirer. Ils sont félins dans la clarté d’un pâle matin. S’étirant en laissant une lueur pénétrer. Têtus, mielleux, malins, violant nos draps de satin. Vivant dans les recoins de ma mémoire.  La journée, le soir, par devoir. Leurs griffes, leurs poignards. Veillant pendant que s’élève le chant d’une cantatrice. La chaleur de sa voix, ses mots complices. Je te laisserais les écouter, mieux les aimer. Dans la tiédeur de nos délices. Pour t’emporter, ligotée de mes artifices. Nous irions au bout de la mer sur un radeau. Moi, capitaine de ton cœur. Toi, fiévreux matelot. Voguant après une lueur. Qui endort nos peurs. Un jour, un matin, un soir sous le regard d’un félin. Gardien de mes ciels noirs. Retord, sans remords, bienveillant par espoir. Tu m’as tout donné. Plus que je ne pouvais l’espérer. Je ne veux t’endeuiller. En t’embarquant dans ce voyage risqué. Venu briser la porte de tes espoirs. Entrant dans le désert de mes ciels noirs. Là où mon âme se perd en multiples faces.  Dans le bal de mes contradictions. Ce lieu où se cachent mes hésitations. Je hais ce tout qui s’enlace dans une menace. Brisant ces rêves que tu appelles, câlins dans la clarté d’un pâle matin. Ténus, merveilleux, mutins, ourlant nos draps de satin. Tu les retiens de la main. D’un geste candide peut être naïf. Moi, à ton cœur captif. Au romantisme nostalgique. Nos larmes qui ne sont que tragiques. Est-ce une faute si mes ciels sont noirs ? Je veux lire dans tes yeux l’espoir. Merveilleux que tu sauras en changer les couleurs. Avec un arc en ciel de la terre à la lune pour le meilleur. S’accrochant en zigzaguant entre les étoiles. Dans un labyrinthe où se perdront les félins de pâles matins. Doucement quand se lèvera le voile. Sur la blancheur d’une toile. Où je dessinerais ton visage, ton image, un ciel bleu, sans colère, ni tonnerre. Je te le promets. Je n’ai que çà pour te garder.

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Que reste-t-il de nous gladiateurs ?

Publié le 27 Mar 2015 | Aucun commentaire

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Dans la pesanteur d’un matin, ses moiteurs. S’échappent les vapeurs. Infusées de nos rancœurs. Méprisant le soleil, sa chaleur. Nos yeux de chiens, leur froideur. Nos regards aiguisés, leurs lueurs. Les battements de nos cœurs. Désynchronisés, leur lenteur. S’écartant avec malheur. Sans feindre l’aigreur. Ni craindre la peur. De nous apitoyer sur notre union qui se meure. Ces dernières heures. Sur une plage de galets, leurs noirceurs. Nos pieds nus se tordant de douleurs. A se  dire des horreurs. Dans une mascarade sans valeur. La haine qui monte, qui affleure. L’idée de partir qui m’effleure. Toi qui pleure. Ces regrets qui demeurent. Un avenir qui se leurre. L’impossibilité de croire un menteur. Des paroles maquillées de noirceurs. La teinte sépia de nos couleurs. Que reste-t-il de nous gladiateurs ? Nos envies, nos ardeurs. Nos effusions à toute heure. Carbonisées dans la routine de nos labeurs. Que reste-t-il de nous gladiateurs ? Je te le demande en attente majeure. Alors que s’impose une odeur. La montée de la puanteur. Ce charnier qui m’écœure. L’idée d’avoir été des imposteurs. Observant leurs candeurs d’un regard moqueur. Avons-nous commis cette erreur ? Tu me disais ensorceleur. Je te répondais dictateur. Montaient nos fureurs. Ce carrousel dévastateur. De nos assauts batailleurs. Piétinant leur passé, ses douceurs. Leur haleine de tricheurs. Au bout d’un exil de déserteurs. Se retrouvant sur une plage dans le mirage enjôleur. D’un présent réparateur. Nous avons apporté nos yeux de tueurs. Nos idées de conspirateurs. Refusant de brancher sur nos cœurs. Le défibrillateur de nos aigreurs. Brûlant cet espoir réconciliateur. Dans la pesanteur d’un matin, ses moiteurs. Où s’échappent les vapeurs. Infusées de nos rancœurs. La sentence d’un procureur. Nous désignant d’un doigt accusateur. Du poids du déshonneur. Cataloguant notre passé de sans valeur. Que reste-t-il de nous gladiateurs ? Sur mon corps ta sueur. Les pétales fanés de nos fleurs. Les squelettes enfouis de voleurs.

 

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My sleeping beauty

Publié le 25 Mar 2015 | Aucun commentaire

My sleeping beauty

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Three musical notes in echo of our tragedies. Haunt the paper white with the cursed illegible scrawl. The fury and the flashes of lightning of a last night. The rain wetting your face. Your languishing eyes. Hair stuck on your image. This memory writes in division. On the sleepy illegible scrawl. That I decipher of a quietened down look. By touching slowly the touches of the keyboard. Of the organ saddened of past. Without anybody to hear it. In the crypt where rest  your ashes. I have the key of it. To come to watch you. To hope to wake you? Of the dream where you sank. My fingers caress the illegible scrawl of my nostalgia. The evening, at certain nights. When stars are our candles. Flash inconveniently. Remembering me by seeing them. That are lying about three musical notes there in echo of our tragedies. In the evening when you left. I wrote them. With frenzy. I grant it hastily. To accompany your memory. In the crypt beyond the black. When the door is closed. That I leave you only the evening. I have the hope. That you can read the illegible scrawl. Cursed or put to sleep, carrier of my nostalgia. I do not know any more. Used due to being read. I do not know any more. Damaged due to being browsed. It is so. It is my life. My fingers caress the organ saddened of past. By dreaming that the charm will stop acting. That you will wake up with a smile. I like to imagine it. My reason for coming to visit you. To caress the made languid illegible scrawl. Telling the history of our beautiful years. I told them to you many a time. I am stupid, you know them. About what of other one may I speak to you? Arched I am him. My life which runs away. I try to appear. By speaking about past. So that you can recognize me. The present is there to offend us. The only truth. And, these three musical notes in echo of our tragedies. That I play blindly. They have the smell of fields and wheat. Where we were going to wander. It did not change. If you woke up. You could verify it. We could return to it. I stop, I can only torture us. The illegible scrawl has no power. Without anything wonderful. It will never restore the brightness of your eyes. The happiness of our happy moments.  It wears only three musical notes in echo of our tragedies. That I play for you this night. You my sleeping beauty.

 

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Le grimoire

Publié le 24 Mar 2015 | Aucun commentaire

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Trois notes de musique en écho de nos tragédies. Hantent le papier blanc du grimoire maudit. La furie et les éclairs d’une dernière nuit. La pluie mouillant ton visage.  Tes yeux langoureux. Les cheveux collées sur ton image. Ce souvenir écrit en partage. Sur le grimoire endormi. Que je déchiffre d’un regard assagi. En effleurant doucement les touches du clavier.  De l’orgue endeuillé du passé. Sans personne à l’entendre. Dans la crypte où reposent tes cendres. J’en ai la clé. Pour venir te veiller. Espérer te réveiller ? Du songe où tu t’es enfoncée. Mes doigts caressent le grimoire de ma nostalgie. Le soir, certaines nuits. Quand les étoiles sont nos bougies. Clignotent intempestivement. Me souvenant en les voyant. Que traînent trois notes de musique là en écho de nos tragédies. Le soir où tu es partie. Je les ai écrites. Avec frénésie. Je le concède à la va-vite. Pour accompagner ta mémoire. Dans la crypte au-delà du noir. Quand la porte est refermée. Que je te laisse seule le soir. Il me reste l’espoir. Que tu puisses lire le grimoire. Maudit ou endormi, porteur de ma nostalgie. Je ne sais plus. Usé à force d’être lu. Je ne sais plus. Abimé à force d’être parcouru. C’est ainsi. C’est ma vie. Mes doigts caressent l’orgue endeuillé du passé. En rêvant que le charme cessera d’agir. Que tu te réveilleras avec un sourire. Je me plais à l’imaginer. Ma raison de venir te visiter. De cajoler le grimoire alangui. Relatant l’histoire de nos belles années. Je te les ai maintes fois racontées. Je suis stupide, tu les connais. De quoi d’autre puis-je te parler ? Vouté je le suis. Ma vie qui s’enfuit. J’essaie de paraître. En parlant du passé. Pour que tu puisses me reconnaître. Le présent est là pour nous offenser. L’unique vérité. Et, ces trois notes de musique en écho de nos tragédies. Que je joue les yeux fermés. Elles ont l’odeur des champs et des blés. Où nous allions vagabonder. Cela n’a pas changé. Si tu te réveillais. Tu pourrais le vérifier. Nous pourrions y retourner. J’arrête, je ne peux que nous torturer. Le grimoire n’a aucun pouvoir. Sans rien de merveilleux. Il ne restituera jamais l’éclat de tes yeux. Le bonheur de nos moments heureux. Il ne porte que trois notes de musique en écho de nos tragédies. Que je joue pour toi cette nuit. Toi ma belle endormie.

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Fusionnels

Publié le 23 Mar 2015 | Aucun commentaire

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Je voudrais te parler de mélancolie, d’une longue nuit. Sur une plage, sous des nuages. Au bout de nos envies, jusqu’à la fin du rivage. Un soir, abordant le hasard. Sans autre avatar que notre mélancolie. Indiciblement, piétinant. Le sable mouvant. Nous amusant de cette folie. Comme un alibi violant toute raison. Avec l’intense passion. De nouer notre mélancolie. Dans les tentacules d’une douce solitude. Où nos cœurs n’ont d’autres latitudes. Que de céder à la somnolence du silence. Ce bonheur où toutes les frontières sont abolies. Nous envolant sur les ailes de notre mélancolie. Sans rien, sans envie. Doucement, si lentement. Que notre temps. Ne se mesure plus en années ni en secondes. Il est indéfini. Inutile, futile. C’est ainsi. Cela nous suffit. Dans le noir d’un compromis. Où nous avons étouffé nos envies. Pour faire de l’instant. Le présent. Indéfiniment. Tendrement. Je voudrais te parler de mélancolie, d’une longue nuit. Sur une plage, sous des nuages. Où l’on aurait bloqué le mouvement. Des étoiles, de la terre et du vent. Pour nous. Croyant comme des fous. A ce pouvoir surnaturel. Fabriquant notre rêve éternel. D’être fusionnels.

 

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