English Version
gothique et romantique

Posts made in mars, 2014

Timidity

Publié le 18 Mar 2014 | Aucun commentaire

Timidity

romantisch, gothique, romantique, gotisch, rêve, fantastique, fantastisch, sombre, dunkel, traum, romántico, gótico, soñado, oscuro, fantástico, romantico, gotico, sognato, scuro, fantastico, porte, eau, pierres, , eau, see, mer, cimetière, croix, poème d’amour, lettre d’amour, roman gothique, poème romantique, lettre romantique, poème gothique, gothique et romantique, larme, église gothique, mélancolique, mélancolie, nuit, night, dark, sombre, memories, souvenirs, melancolyromantisch, gothique, romantique, gotisch, rêve, fantastique, fantastisch, sombre, dunkel, traum, romántico, gótico, soñado, oscuro, fantástico, romantico, gotico, sognato, scuro, fantastico, porte, eau, pierres, , eau, see, mer, cimetière, croix, poème d’amour, lettre d’amour, roman gothique, poème romantique, lettre romantique, poème gothique, gothique et romantique, larme, église gothique, mélancolique, mélancolie, nuit, night, dark, sombre, memories, souvenirs, melancoly

A hesitation, a doubt, a reserve. Before entering, to see and be seen. A hand which trembles, of the steps which hesitate. Intoxication of the timidity which would like that any master key quickly. Like the breath of a fleeing wind. On dormant water of a falling asleep lake. An interrogation, so much of questionings. As the reflection of what skins you in inside. The desire for shouting with you to choke some. Without daring to release the first mot. an offense with these feelings which speak too high. In your head, your heart. Who immediately take fear. With the idea to express itself. In total freedom. Stronger in you. There, where they can dictate their law. Kidnapping the virginity of your thoughts. Living in perfect violation of your impulses. Singing the anthem syphilitic of your timidity. Who pushes you to hide you. Behind this door instead of you to show. What to say? To release you. To help You to flee. There is nothing which obliges you to undergo. This weakness that you trail as lazes. Indolente, sufficient, which gives birth to. Of this timidity which you learned how to carry. Since it is necessary to you to humiliate. Behind this door of what you do not manage to push. To arrive there, it would be necessary to hustle you, force you. To Cause this revolt which only requires to burst. As Many feelings ready to submerge you. In the expression of an oppressive sufficiency. You, seeking your breathing of a slow puff. Red coloring your skin. Tattooing your impotence with the mark of the seal. Of a lack of confidence which you carry too high. It me sometimes the idea has just given up you. Only, like one exiled. On a continent where there would be nothing to make, nor to propose. Just to hide you behind the doors which you could find. I weary myself, nailed by your lack of audacity. Broken by the feeling that is very erased. Behind the veil of this timidity which kills to us. A hesitation, a doubt, a reserve. Before entering, to see and be seen. A hand which trembles, of the steps which hesitate. Intoxication of the timidity which would like that any master key quickly. The whole being repeated behind the white flag that you agitate. It me sometimes the idea has just protected you. Behind large drawn up walls. To insulate to you, let themselves breathe. In a place where there would be no door to push. No the innovation to be faced. For better treating your disease. This infirmity which puffs out you the life. To make would not be you to like. I do not have the right to keep you. Of you for me. To move back this bitter moment where you will have to enter in full light. To Hesitate, doubt, all in reserve. Te throw, to enter, see, be seen. With a hand which trembles, of the steps which hesitate. In the intoxication of this timidity which would like that any master key so quickly.

Lire la suite

Le pantin

Publié le 18 Mar 2014 | Aucun commentaire

romantisch, gothique, romantique, gotisch, rêve, fantastique, fantastisch, sombre, dunkel, traum, romántico, gótico, soñado, oscuro, fantástico, romantico, gotico, sognato, scuro, fantastico, porte, eau, pierres, , eau, see, mer, cimetière, croix, poème d’amour, lettre d’amour, roman gothique, poème romantique, lettre romantique, poème gothique, gothique et romantique, larme, église gothique, mélancolique, mélancolie, nuit, night, dark, sombre, memories, souvenirs, melancoly

Chapardés sans vouloir les voler, j’ai joué avec les outils du temps. Les utilisant maladroitement en figeant les arabesques de tes mouvements. Te laissant pendre au bout de longues ficelles. Comme une marionnette  sans cervelle. Je ressens une forme d’amusement. Il est difficile de te l’avouer sans déclencher ton mécontentement. Pourtant, je ne me sens coupable de rien. J’ai le plaisir de tenir ton destin. Entre mes mains, dirigeant ce que tu es devenue, un pantin. D’habitude, je me tais. Aujourd’hui, je fais le malin. Tu t’abstiens car tu crains. De rester figée. J’aime ce pouvoir. De ne plus redouter mais de savoir. Que je peux tout imaginer. Pendant que tu es paralysée. Peut-être terrorisée ? A l’idée de ne jamais te libérer. Ai-je envie de le faire ? Pour me retrouver de nouveau à terre. Toi, me manipulant d’un regard fier. Je porte la clé de mes péchés. Avec l’absence de regrets. Pourquoi revenir en arrière m’empêcher d’exister ? Car tu pends au bout d’un fil. Que je t’abandonne sur ton île. Autant de raisons qui ne sont pas ma raison. Autant de situations qui ne  rallumeront pas ma passion. Éteinte à force d’être l’objet de tes complaintes. J’ai accepté, tout enduré, quitte à m’emmurer. Dans le silence pour supporter toutes tes offenses. Jusqu’à ce jour où je pourrais me détacher. De tout, de toi, de ce qui me semble mauvais. Chapardés sans vouloir les voler, j’ai joué avec les outils du temps. Les utilisant maladroitement en figeant les arabesques de tes mouvements.Je ne vais pas me plaindre de cette chance. Toi qui danse. Au bout de longs fils. Moi qui pense. Que tu es bien futile. Ma revanche, ma vengeance ne sont pas violentes. Elles sont la mort lente. Du fait que je ne crois plus en toi. Que tes pirouettes sont tristes, tes grimaces contractées. Comme un mauvais coup de pinceau sur du bois laqué. Qui ne fait pas rêver. Que je n’ai pas envie d’acheter. Te laissant dans la vitrine sans regret. Je m’en vais sans être attristé. Ni même pleurer. Les larmes ne coulent pas le jour d’une libération. Il n’y a qu’une profonde respiration. La naissance de nouvelles sensations. Le retour d’une époque où je ne t’avais pas encore rencontrée. Les mains libres, les bras non retenus par des fils. Que j’ai serrés au bout de tes poignets pour t’empêcher de te libérer. A jamais.

Lire la suite

L’ivresse de la timidité

Publié le 17 Mar 2014 | Aucun commentaire

romantisch, gothique, romantique, gotisch, rêve, fantastique, fantastisch, sombre, dunkel, traum, romántico, gótico, soñado, oscuro, fantástico, romantico, gotico, sognato, scuro, fantastico, porte, eau, pierres, , eau, see, mer, cimetière, croix, poème d’amour, lettre d’amour, roman gothique, poème romantique, lettre romantique, poème gothique, gothique et romantique, larme, église gothique, mélancolique, mélancolie, nuit, night, dark, sombre, memories, souvenirs, melancolyromantisch, gothique, romantique, gotisch, rêve, fantastique, fantastisch, sombre, dunkel, traum, romántico, gótico, soñado, oscuro, fantástico, romantico, gotico, sognato, scuro, fantastico, porte, eau, pierres, , eau, see, mer, cimetière, croix, poème d’amour, lettre d’amour, roman gothique, poème romantique, lettre romantique, poème gothique, gothique et romantique, larme, église gothique, mélancolique, mélancolie, nuit, night, dark, sombre, memories, souvenirs, melancoly

Une hésitation, un doute, une retenue. Avant d’entrer, de voir et d’être vue. Une main qui tremble, des pas qui hésitent. Ivresse de la timidité qui voudrait que tout passe vite. Comme le souffle d’un vent s’enfuyant. Sur les eaux assoupies d’un lac s’endormant. Une interrogation, tant de questionnements. Comme le reflet de ce qui t’écorche en dedans. L’envie de crier à t’en étouffer. Sans oser lâcher le premier mot. Une offense à ces sentiments qui parlent trop haut. Dans ta tête, dans ton cœur. Qui tout de suite prennent peur. A l’idée de s’exprimer. En totale liberté. Plus forts en toi. Là, où ils peuvent dicter leur loi. Kidnappant la virginité de tes pensées. Vivant en parfaite violation de tes pulsions. Chantant l’hymne vérolé de ta timidité. Qui te pousse à te cacher. Derrière cette porte au lieu de te montrer. Que dire ? Pour te libérer. T’aider à t’enfuir. Il n’y a rien qui t’oblige à subir. Cette faiblesse que tu traînes comme une paresse. Indolente, suffisante, qui enfante. De cette timidité que tu as appris à porter. Quitte à t’humilier. Derrière cette porte de ce que tu ne parviens pas à pousser. Pour y arriver, il faudrait te bousculer, te violenter. Provoquer cette révolte qui ne demande qu’à éclater. Autant de sentiments prêts à te submerger. Dans l’expression d’une suffisance oppressante. Toi, cherchant ta respiration d’une bouffée lente. Le rouge colorant ta peau. Tatouant ton impuissance avec la marque du sceau. D’un manque de confiance que tu portes trop haut. Il me vient parfois l’idée de t’abandonner. Seule, comme une exilée. Sur un continent où il n’y aurait rien à faire, ni à proposer. Juste à te cacher derrière les portes que tu pourrais trouver. Je me lasse, cloué par ton manque d’audace. Brisé par le sentiment que tout s’efface. Derrière le voile de cette timidité qui nous tue. Une hésitation, un doute, une retenue. Avant d’entrer, de voir et d’être vue. Une main qui tremble, des pas qui hésitent. Ivresse de la timidité qui voudrait que tout passe vite. Le tout se répétant derrière le drapeau blanc que tu agites. Il me vient parfois l’idée de te protéger. Derrière de grands murs dressés. Pour t’isoler, te laisser respirer. Dans un lieu où il n’y aurait pas de porte à pousser. Pas de nouveauté à affronter. Pour mieux traiter ta maladie. Cette infirmité qui te bouffe la vie. Le faire ne serait pas t’aimer. Je n’ai pas le droit de te garder. De toi pour moi. De reculer ce moment amer où tu devras entrer en pleine lumière. Hésiter, douter, toute en retenue. Te lancer, entrer, voir, être vue. Avec une main qui tremble, des pas qui hésitent. Dans l’ivresse de cette timidité qui voudrait que tout passe si vite.

Lire la suite

My dreams fled

Publié le 12 Mar 2014 | Aucun commentaire

My dreams fled

romantisch, gothique, romantique, gotisch, rêve, fantastique, fantastisch, sombre, dunkel, traum, romántico, gótico, soñado, oscuro, fantástico, romantico, gotico, sognato, scuro, fantastico, porte, eau, pierres, , eau, see, mer, cimetière, croix, poème d’amour, lettre d’amour, roman gothique, poème romantique, lettre romantique, poème gothique, gothique et romantique, larme, église gothique, mélancolique, mélancolie, nuit, night, dark, sombre, memories, souvenirs, melancoly

My dreams fled. Do not rove any more in the middle of my nights. Leaving a diffuse trace like a confused rumor. Where a sad feeling rustles. Carried by the wind. That later will not be any more like front. My dreams fled. Loans of nostalgia. Releasing a revolt, a bit of fury. Who prevents me from sleeping. Carrying Me to insomnia. Country where so many memories are hustled. Their recall bewitches me, carries me sorrow. My dreams fled. In a search veins. Made drunk of these moments of madness. Where the night was black charged to know. Where the images were colored colors. Mixed with the imaginary grounds, their savors. My dreams fled. Leaving nothing for absence of life. On an absorbed ground. From where goes up the nauseous mud. Questions without answers. Who abound. Who tear like brambles. Fragile skin of the veil of the memories. My dreams fled. In a perfume of end. Of all and nothing. My dreams fled. Without taking the hand. With the body accompanying their destiny. Creating in the drift of time. The languor of these vapors. Who hide the following day. Behind the folding screen mocker. Of an ice-cold reality. Arrival to extinguish heat. Dreams which will be never rigid. With their nimble skeleton, their flexible and futile thought. My dreams fled. In the middle one night. Opening the hand. Cutting our bonds. Giving up itself on the wave. Releasing itself towards another world. Me, the fussy one to leave. Hoping to see them returning. By leaving a diffuse trace like a confused rumor. Where a sad feeling rustles. Carried by the wind. That later will not be any more like front.

Lire la suite

Mes rêves se sont enfuis

Publié le 12 Mar 2014 | Aucun commentaire

romantisch, gothique, romantique, gotisch, rêve, fantastique, fantastisch, sombre, dunkel, traum, romántico, gótico, soñado, oscuro, fantástico, romantico, gotico, sognato, scuro, fantastico, porte, eau, pierres, , eau, see, mer, cimetière, croix, poème d’amour, lettre d’amour, roman gothique, poème romantique, lettre romantique, poème gothique, gothique et romantique, larme, église gothique, mélancolique, mélancolie, nuit, night, dark, sombre, memories, souvenirs, melancoly

Mes rêves se sont enfuis. Ne vagabondent plus au cœur de mes nuits. Laissant une trace diffuse comme une rumeur confuse. Où bruisse un triste sentiment. Emporté par le vent. Que plus tard ne sera plus comme avant. Mes rêves se sont enfuis. Emprunts de nostalgie. Lâchant une révolte, un brin de furie. Qui m’empêche de dormir. Me portant à l’insomnie. Pays où se bousculent tant de souvenirs. Leur rappel m’ensorcelle, me porte peine. Mes rêves se sont enfuis. Dans une quête veine. Enivrés de ces instants de folie. Où la nuit était noire chargée de savoir. Où les images étaient coloriées de couleurs. Mélangées aux terres imaginaires, à leurs saveurs. Mes rêves se sont enfuis. Laissant le néant pour absence de vie. Sur un sol englouti. D’où remonte la vase nauséabonde. De questions sans réponses. Qui abondent. Qui déchirent comme des ronces. La peau fragile du voile des souvenirs. Mes rêves se sont enfuis. Dans un parfum de fin. De tout et de rien. Mes rêves se sont enfuis. Sans prendre la main. Au corps accompagnant leur destin. Créant dans la dérive du temps. La langueur de ces vapeurs. Qui cachent le lendemain. Derrière le paravent moqueur. D’une réalité frigide. Venue éteindre la chaleur. De rêves qui ne seront jamais rigides. Avec leur squelette agile, leur pensée souple et futile. Mes rêves se sont enfuis. Au cœur d’une nuit. Ouvrant la main. Coupant nos liens. S’abandonnant sur l’onde. Se libérant vers un autre monde. Moi, les regardant partir. Espérant les voir revenir. En laissant une trace diffuse comme une rumeur confuse. Où bruisse un triste sentiment. Emporté par le vent. Que plus tard ne sera plus comme avant.

Lire la suite

This site is protected by wp-copyrightpro.com

This function has been disabled for Gothique-et-Romantique.