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gothique et romantique

Posts made in octobre, 2013

How to tell you ?

Publié le 24 Oct 2013 | Aucun commentaire

How to tell you ?

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How to tell you ? To retain you ? Without you to make vomit, nor to fade. I am not that which you believed. Draftsman of the day, of the night, of bad times. Thus you saw me. I all had not said you. By whim, desire to look elegant ? Don’t I know i t? I have a secret garden. Where I paint the good and the evil. In a fatal disorder. Who attacks me. I cannot demolish myself some. Where that I go. It is thus. In front of the fabric of a field of fog. I sat down. To draw brush of misfortune. A city, its alleys, its walks, its ballot boxes. Where the oaths of the lovers burn. Under the roofs, I slipped while crawling. Carpet in the black. Killing the hope. Whitewashing the walls of the stench of my offenses. Born from the deliquescence of my silences. To speak to you about it would have to lead you to leave me. You preferred my inhabited smiles. Of this extreme glance which heated you. I lied you. By play, lassitude, me the bad one. I always was it. Blowing the storm on the city which I had just created. I did not want any more to play. Nothing any more amused me. In me, you had entered. I had not seen it arriving. Drawing on the roofs of the city of the broken hearts. Venom of my sharp-edged arrows. Soaked in the blood of my ridiculed body. To have abused you. By lying you on the single truth to acknowledge you. That I loved you. But, it would have very been necessary to deliver to you. My being, my reasons, my insanity, the nature of my wandering. It would have been necessary to add the repentance to it. To be to me a long time hidden. Behind this made up smile. Too many efforts required. Starting with more lying you.How to tell you? To retain you? Without you to make vomit, nor to fade. I am not that which you believed. To imagine you to weaken or even die, I could not it. On the table where I had walked you, I erased you. Small abandoned silhouette. I covered you with white. Of a thick layer so that you cannot release yourself. Slowly. I imprisoned you. Without hesitating, crying, shouting. Only means of not making you suffer. I believed to be able to forget you of a sigh. Now, I suffocate, I do not manage to leave. Bewitched by the white fabric. In front of which I pour out. I dug in the colors in search of you. Breaking my single law. Never not to look behind me. I could not find you. Now, I have badly, of an infernal pain. Who emphasizes in me the animal. Whose bite will be fatal for me. It advances devouring by rancour the tears of my happiness. Those which it me remained of you. But, I am not afraid any more. How to tell you? To retain You? Without you to make vomit, nor to fade. I became that which you believed.

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Comment te dire ?

Publié le 24 Oct 2013 | Aucun commentaire

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Comment te dire ? Te retenir ? Sans te faire vomir, ni pâlir. Je ne suis pas celui que tu croyais. Dessinateur du jour, de la nuit, des temps mauvais. C’est ainsi que tu me voyais. Je ne t’avais pas tout dit. Par caprice, par coquetterie ? Je ne le sais ? J’ai un jardin secret. Où je peins le bien et le mal. Dans un trouble fatal. Qui m’assaille. Je ne peux m’en défaire. Où que j’aille. C’est ainsi. Devant la toile d’un champ de brume. Je me suis assis. Pour dessiner du pinceau de mauvaise fortune. Une ville, ses allées, ses promenades, ses urnes. Là où brûlent les serments des amants. Sous les toits, je me suis glissé en rampant. Tapis dans le noir. Tuant l’espoir. Badigeonnant les murs de la pestilence de mes offenses. Nées de la déliquescence de mes silences. T’en parler t’aurait amenée à me quitter. Tu préférais mes sourires habités. De ce regard brûlant qui te réchauffait. Je te mentais. Par jeu, par lassitude, moi le mauvais. Je l’ai toujours été. Soufflant la tempête sur la ville que je venais de créer. Je n’avais plus envie de jouer. Plus rien ne m’amusait. En moi, tu es entrée. Je ne l’ai pas vu arriver. Dessinant sur les toits de la ville des cœurs brisés. Du venin de mes flèches acérées. Trempées dans le sang de mon corps bafoué. De t’avoir malmenée. En te mentant sur l’unique vérité à t’avouer. Que je t’aimais. Mais, il aurait fallu tout te livrer. Mon être, mes raisons, ma déraison, la nature de mon errance. Il aurait fallu y ajouter la repentance. De m’être longtemps caché. Derrière ce sourire maquillé. Trop d’efforts à fournir. A commencer par ne plus te mentir.Comment te dire ? Te retenir ? Sans te faire vomir, ni pâlir. Je ne suis pas celui que tu croyais. T’imaginer défaillir ou même mourir, je ne le pouvais. Sur le tableau où je t’avais promenée, je t’ai effacée. Petite silhouette abandonnée. Je t’ai recouverte de blanc. D’une couche épaisse pour que tu ne puisses te libérer. Lentement. Je t’ai emprisonnée. Sans hésiter, sans pleurer, sans crier. Seul moyen de ne pas te faire souffrir. J’ai cru pouvoir t’oublier d’un soupir. Maintenant, je suffoque, je n’arrive pas à partir. Envouté par la toile blanche. Devant laquelle je m’épanche. J’ai creusé dans les couleurs en quête de toi. Brisant mon unique loi. De ne jamais regarder derrière moi. Je n’ai pu te retrouver. Maintenant, j’ai mal, d’une douleur infernale. Qui fait ressortir en moi l’animal. Dont la morsure me sera fatale. Il avance dévorant par rancœur les larmes de mon bonheur. Celles qui me restaient de toi. Mais, je n’ai plus peur. Comment te dire ? Te retenir ? Sans te faire vomir, ni pâlir. Je suis devenu celui que tu croyais.

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Un cri jeté vers l’infini

Publié le 22 Oct 2013 | Aucun commentaire

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Idée lancinante qui hante. Dérive haletante d’une pensée affolante. Cri jeté vers l’infini. D’une cantatrice sourde aux larmes, aux drames. Jetant au sol les armes. Un soir de lune. Vertige d’un ciel s’étirant au-delà de  la brume. Idée lancinante qui hante. De marcher puis de courir à vitesse lente. Pas posés sur les touches d’un piano. Frappant les aigus d’un marteau. Dans une marche hésitante. Temps battant la mélodie qui nous poursuit. Plus forte que l’érosion des reliefs de notre passion. Coup de vent qui fend. Le faux visage de nos présages. Dessinés dans l’amour lové. De nos projets enfantés. Chassant le faux du vrai. De ne pas crever. Idée lancinante qui hante. Revenant en vagues récurrentes. Fuir au travers des nuages. Plus haut, plus loin que portent nos mirages. Voler. Planer. S’étendre dans les fils vaporeux. Tissant le cocon frileux. De nos voiles amoureux. Fermant les yeux. Pour nous deux. Rien que tous les deux. Imaginer. Proposer. Le battement capricieux du temps, capturé. Dans nos mains enfiévrées de se toucher. De vagabonder. Sur la toile de cette obsession. Idée lancinante qui hante. Troublante, envoutante. Dans une ombre s’allongeant démesurée. De la terre à la lune. Marchant sur cette ligne qui ne fait qu’une. Passerelle tissant le corps de nos passions. Frissons, respirations. Idée lancinante qui hante. Dans la répétition de nos hésitations. Pour ce mal qui enfante. Le doute. Que l’on redoute. Posant les questions de nos vies, de nos mort. Ai-je tort ? Idée lancinante qui hante. Étouffante, asphyxiante. De notre séparation. Plus loin que ne porte la déraison. De nos corps en fusion. Sur le derme incandescent de notre rébellion. Pleurer pour éteindre le feu. Rire pour conjurer le sort affreux. De ne plus être tous les deux. Toi, sur la terre; moi, sur la lune. Laissant le message posthume. De cette idée lancinante qui hante. Nos jours, nos nuits, qui aimante. Le fer sculpté de nos cœurs enlacés. Sans rouille. Sans trouille. Juste cadenassés par ce projet d’étendre à jamais. Un voile de pudeur sur nos belles heures. Tuant l’idée lancinante qui hante. La dérive haletante d’une pensée affolante. De ton dernier cri jeté vers l’infini.

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The memory of a statue.

Publié le 16 Oct 2013 | Aucun commentaire

The memory of a statue.

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Pour the drops of rain on the rigid face of the trouble. Run the destiny of a time which does not have any more end. Forget blood bubbling in cooled veins. Cry the fire of an extinct passion at the end of your misfortune. Remain the empty mask of a morbid glance. Made up dust recovering your cemetery. Pour the drops of rain on your stiff body. Of a memory which flees to the martyr. With the absence of a name for consequence. To build silence. Where offense sinks. To be only one statue with the naked heart. Given up at the end of an alley. Visited by the drift of worn steps to trail. Without goal, nor projects. For finally meeting you. Pour the drops of rain on the wall of tone sarcophagus. Well too wise to be only one image. From a completed time. Where became animated in you so much solved passions. Too much quickly concluded. In the sad and cold memory of a statue.

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Le souvenir d’une statue

Publié le 16 Oct 2013 | Aucun commentaire

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Versent les gouttes de pluie sur le visage rigide de l’ennui. Coule le destin d’un temps qui n’a plus de fin. Oublie le sang bouillonnant dans des veines refroidies. Pleure le feu d’une passion éteinte au bout de ton malheur. Reste le masque vide d’un regard morbide. Maquillé de la poussière recouvrant ton cimetière. Versent les gouttes de pluie sur ton corps transi. D’un souvenir qui s’enfuit jusqu’au martyr. Avec l’absence d’un nom pour conséquence. De construire le silence. Où sombre l’offense. De n’être qu’une statue à l’âme nue. Abandonnée au bout d’une allée. Visitée par la dérive de pas usés de traîner. Sans but, ni projets. Pour finalement te rencontrer. Versent les gouttes de pluie sur le mur de ton sarcophage. Bien trop sage pour n’être qu’une image. D’un temps révolu. Où s’animait en toi tant de passions résolues. Trop vite conclues. Dans le souvenir triste et froid d’une statue.

 

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