Melancholy

Melancholy of the colors deer of the autumn. Strike my heart of an unhappiness which reasons. Like the choked sound of a complaint. Forever extinct. Under the livid gleam of the moon. Bathing my sorrows which do only one. With the forced anxiety of a wolf. Wounded at the bottom of its hole. Fire of straw. Of a heart which weakens. Virgin of any hatred. Driven out forever its veins. Sempiternal sentinel. Leaving in dream eternal. A trace of love. For single always. Melancholy of the colors deer of the autumn. Strike my heart of an unhappiness which reasons. Like the single signal. Of a fatal pain. Girl of my initial loves. That your frail fingers. Erased on my body of Punchinello. Slashed of my ways. Between beautiful and ugly one. Unavowed traveller. Of my dark last. That your fired being. Wants for always erasing. Melancholy of the colors deer of the autumn. Strike my heart of an unhappiness which reasons. Like the half-light. Of a consent which sinks. Under the tin horizon. Last day before the following day. Tinted red sun of the summer. Cheerfulness Impresses. That I never could skim. That you promised to reveal me. Carrying for always the lapse of memory. Of my melancholy.
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La mélancolie des couleurs fauves de l’automne. Frappent mon cœur d’une tristesse qui raisonne. Comme le son étouffé d’une plainte. A jamais éteinte. Sous la lueur livide de la lune. Baignant mes peines qui ne font qu’une. Avec l’anxiété violentée d’un loup. Blessé au fond de son trou. Feu de paille. D’une âme qui défaille. Vierge de toute haine. Chassée à jamais de ses veines. Sempiternelle sentinelle. Laissant en rêve éternel. Une trace d’amour. Pour unique toujours. La mélancolie des couleurs fauves de l’automne. Frappent mon cœur d’une tristesse qui raisonne. Comme l’unique signal. D’une douleur fatale. Fille de mes amours initiales. Que tes doigts frêles. Ont effacé sur mon corps de polichinelle. Balafré de mes trajets. Entre le beau et laid. Voyageur inavoué. De mon sombre passé. Que ton être enfiévré. Veut pour toujours éradiquer. La mélancolie des couleurs fauves de l’automne. Frappent mon cœur d’une tristesse qui raisonne. Comme la pénombre. D’un aveu qui sombre. Sous l’horizon d’étain. Dernier jour avant le lendemain. Teinté du soleil rouge de l’été. Empreint de gaieté. Que je n’ai jamais pu effleurer. Que tu as promis de me révéler. Portant pour toujours l’oubli. De ma mélancolie.
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