To remain or flee ?

To remain or flee ? Vis-a-vis your glance ready to like or betray. Preaching truth or the forgery in the softness of your eyes. Where a share of tenderness dozes assassinates which will slip between us two. To believe in you in the point of very giving you of a languorous caress. Before did not leave your claws a painful slap. To remain or flee? To carry by the defect to play with all your whims. Evasive mouse running stripped in near. So near to you that she does not see herself, escaped in his daydream. I like your mysterious, bitter glance. Killing the opened mouth, sharp-edged hooks what likes you. Playing the partition of nice to hum. To better do itself to like. Drowning its share of shade in eyes in love. Escaping to the skies. Crying of the tears the unhappy one. From the top of summits. Watching for the occasion of a new crime. With the ambiguity of this question. To remain or flee? Beyond any reason. You who will never change. See in your eyes the bad glance which you cannot make up. Loan to be liked or betray. You lie as you breathe. However, I like your marvellous, languorous glance. Where a lack of truth hides. Masked by the silence of your absences. Drowned in the large park of the shades where stretch themselves all your nights. Tinted basked in the sun dark images of cries. With the taste salted of your victims on the white of your hooks in a slow anguish. I like this idea of your kindness, you it bad. I have a reason. Going until forgiveness. Finding in your eyes. The force nothing to require them.
Lire la suiteRester ou s’enfuir ?

Rester ou s’enfuir ? Face à ton regard prêt à aimer ou à trahir. Prônant le vrai ou le faux dans la douceur de tes yeux. Où sommeille une part de tendresse assassine qui se glissera entre nous deux. Croire en toi au point de tout te donner d’une caresse langoureuse. Avant que ne sorte de tes griffes une gifle douloureuse. Rester ou s’enfuir ? Porter par le vice de jouer avec tous tes caprices. Souris évasive courant dénudée dans les près. Si proche de toi qu’elle ne te voit, évadée dans son rêve éveillée. J’aime ton regard mystérieux, fielleux. Tuant la gueule ouverte, les crocs acérés ce qui te plaît. Jouant la partition du gentil pour ronronner. Mieux se faire aimer. Noyant sa part d’ombre dans des yeux amoureux. S’évadant jusqu’aux cieux. Pleurant des larmes de malheureux. Du haut des cimes. Guettant l’occasion d’un nouveau crime. Avec l’ambiguïté de cette question. Rester ou s’enfuir ? Au delà de toute raison. Toi qui ne changera jamais. Voir dans tes yeux le regard mauvais que tu ne peux maquiller. Prêt à aimer ou à trahir. Tu mens comme tu respires. Pourtant, j’aime ton regard merveilleux, langoureux. Où se cache un manque de vérité. Masqué par le silence de tes absences. Noyé dans le grand parc des ombres où s’étirent toutes tes nuits. Teintées d’images sombres lézardées de cris. Au goût salé de tes victimes saignant sur le blanc de tes crocs dans une lente agonie. J’aime cette idée de bonté, toi le mauvais. Je me fais une raison. Allant jusqu’au pardon. Trouvant dans tes yeux. La force de ne rien attendre d’eux.
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