By where to start?
There is with far this repetition throbbing from the beat of time. Against the carcass of an engraved bell which is not wearied. To be struck, reasoning of agreements distorted the settee of the years. It there with far, the complaint of a call which sounds, resounds. This absence of reaction which astonishes. Just slashed of the flash of a storm which thunders. There is with far these clouds crumbling on the peak from the horizon. Erasing, red the one day old blood which dies. There is around us the rustle of the wind. Carrying us, whirling. In a dance without reference mark. The insane head, light legs. On a sand of seaside. Wet feet. Waves stretched to yawn about it. In a languorous torpor. You and me, only with our fears. Not to know at what time. For us the bell of time Will Sound. There is with far, the murmur of the wind. Carrying. Jerked blows. Of a disproportionate echo. Giants striking the course of the years violently. Wrinkles stretching itself. On our tired faces. Marked by the spray of a life where the tears dug the furrows of these feelings. Who today live us. Nourishing the direction of our passion. With for single reason refusing the projection of time. Who gets busy to separate us. There is with far this small voice. Who speaks to us. With you. With me. To dispatch us, to tighten us, to love us. Us statement these words which conceal our secrecies. And quickly to start.
Lire la suitePar où commencer ?
Il y a au loin cette répétition lancinante du battement du temps. Contre la carcasse d’une cloche burinée qui ne se lasse pas. D’être frappée, raisonnant d’accords faussés sur le canapé des ans. Il y au loin, la plainte d’un appel qui sonne, résonne. Cette absence de réaction qui étonne. Juste balafrée de l’éclair d’un orage qui tonne. Il y a au loin ces nuages s’effondrant sur la crête de l’horizon. Effaçant, le rouge sang d’un jour qui se meurt. Il y a autour de nous le bruissement du vent. Nous emportant, tourbillonnant. Dans une danse sans repère. La tête folle, les jambes légères. Sur un sable de bord de mer. Les pieds mouillés. Des vagues étirées à en bailler. Dans une langoureuse torpeur. Toi et moi, seuls avec nos peurs. De ne pas savoir à quelle heure. Sonnera pour nous la cloche du temps. Il y a au loin, le murmure du vent. Portant. Les coups saccadés. D’un écho démesuré. De géants frappant violemment le cours des ans. Des rides s’étirant. Sur nos visages fatigués. Marqués par les embruns d’une vie où les larmes ont creusé les sillons de ces sentiments. Qui aujourd’hui nous habitent. Nourrissant le sens de notre passion. Avec pour unique raison de refuser l’avancée du temps. Qui s’emploie à nous séparer. Il y a au loin cette petite voix. Qui nous parle. A toi. A moi. De nous dépêcher, de nous serrer, de nous aimer. De nous dires ces mots qui recèlent nos secrets. Et de vite commencer.
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J'aime ce qui est gothique, ce qui est romantique, je vous présente mes textes et mes photos. I like what is gothic, what is romantic, I present my texts and photos Steffan Urell
