Words of love
Sat on the bench to look at the sea. Boats. The city. The clouds which are stretched. Languorously. I hear your melancholy. The delicate sound of the violins of your heart. Who cry not to know. Where goes time? That which is stretched in you. Depriving you. Of this joy which attaches you so much. Cutting down your life by imagination. For the benefit of this melancholy. Who pushes you to imagine that elsewhere. You will find happiness. But, it cannot live in you. The colors of your heart are gray. Incompetents to see the world differently. However. I tell you the opposite. I lie you. So that you hope. That my lie protects you. To put safe from the winter, of all these snows. Of all these chasms of which you could not raise you. I like your brittleness. The hot blood of your sensitivity. Being spread out over the carmine of your lips. That I like to embrace. That I want forever.
Lire la suiteMots d’amour
Assis sur le banc à regarder la mer. Les bateaux. La ville. Les nuages qui s’étirent. Langoureusement. J’entends ta mélancolie. Le son délicat des violons de ton âme. Qui pleurent de ne pas savoir. Où va le temps ? Celui qui s’étire en toi. Te privant. De cette joie qui te bride tant. Amputant ta vie de fantaisie. Au bénéfice de cette mélancolie. Qui te pousse à imaginer qu’ailleurs. Tu trouveras le bonheur. Mais, il ne peut habiter en toi. Les teintes de ton âme sont grises. Incapables de voir le monde autrement. Pourtant. Je te dis le contraire. Je te mens. Pour que tu espères. Que mon mensonge te protège. Te mette à l’abri de l’hiver, de toutes ces neiges. De tous ces précipices desquels tu ne pourrais te relever. J’aime ta fragilité. Le sang chaud de ta sensibilité. S’étalant sur le carmin de tes lèvres. Que j’aime embrasser. Que je veux à tout jamais.
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J'aime ce qui est gothique, ce qui est romantique, je vous présente mes textes et mes photos. I like what is gothic, what is romantic, I present my texts and photos Steffan Urell
