The roses
To gather. To offer them. To please to you. White, they hung at the edge of the way. I thought of you. This happiness to bring them to you. To imagine the glare of tone smile. To live this shared happiness. I took them over. White, they hung at the edge of the way. My fingers skimmed the tender petals. Soft as your cheek. Silky like our happy days. A bee ate sweetened, flew, frolicked. I deviated. It is in alley. I approached. White, they hung at the edge of the way. The sun rose over the small hour. The dew on grass was spread out. The paddle was born. I thought of you, to our go next. I could not come to join you without anything in hand. White, they hung at the edge of the way. My fingers seized a stem to cut it. The pink trembled, curved itself before folding. A pain, blood ran. The white petals were stained. Reds, they now carry the mark of my sacrifice. My pain is not factitious. White, they hung at the edge of the way. They are for you. I join you. To imagine the glare of tone smile. To live this shared happiness. There is nothing more good than to love you.
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Les cueillir. Te les offrir. Te faire plaisir. Blanches, elles pendaient au bord du chemin. J’ai pensé à toi. A ce bonheur de te les apporter. Imaginer l’éclat de ton sourire. Vivre ce bonheur partagé. Je les ai prises en main. Blanches, elles pendaient au bord du chemin. Mes doigts ont effleuré les pétales tendres. Doux comme ta joue. Soyeux comme nos jours heureux. Une abeille mangeait le sucré, volait, batifolait. Je me suis écarté. Elle s’est en allée. Je me suis rapproché. Blanches, elles pendaient au bord du chemin. Le soleil se levait sur le petit matin. La rosée sur l’herbe s’étalait. L’aube naissait. J’ai pensé à toi, à notre rendez-vous prochain. Je ne pouvais pas venir te rejoindre sans rien en main. Blanches, elles pendaient au bord du chemin. Mes doigts ont saisi une tige pour la couper. La rose a tremblé, s’est courbée avant de plier. Une douleur, le sang a coulé. Les pétales blancs se sont tachés. Rouges, ils portent maintenant la marque de mon sacrifice. Ma douleur n’est pas factice. Blanches, elles pendaient au bord du chemin. Elles sont pour toi. Je te rejoins. Imaginer l’éclat de ton sourire. Vivre ce bonheur partagé. Il n’y a rien de plus bon que de t’aimer.
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J'aime ce qui est gothique, ce qui est romantique, je vous présente mes textes et mes photos. I like what is gothic, what is romantic, I present my texts and photos Steffan Urell
